par Djamel Niati, élu Front de Gauche
Au-delà de l’autosatisfaction proclamée par la municipalité de droite à chaque bulletin municipal, quel est son bilan réel pour les Plaisirois ?
Deux faits marquent ce 1er semestre. D’abord, la volonté de réduire le nombre des écoles de la Ville : après Claudel, c’est l’avenir de Marc Laurent qui semble compromis, qu’importe, aux yeux de l’équipe municipale que les regroupements forcés augmentent les effectifs des classes et allongent les trajets vers l’école ! De surcroit cette équipe s’est aussi toujours opposée à une politique de scolarisation avant 3 ans, si utile pourtant dans la prévention de l’échec scolaire, surtout dans les milieux défavorisés —c’est vrai que ce n’est pas là que se recrute son électorat…
La baisse drastique des dotations de l’État aux collectivités invoquée comme explication est un réel problème. Ce fut une constante des gouvernements de Hollande comme de Sarkozy, soumis l’un et l’autre au dogme libéral de l’austérité. La récente dénonciation de cette baisse par Mme Kollmannsberger semble bien une attitude politicienne de circonstance.
Le second fait marquant a été la hausse de la fiscalité, voulue, sans que l’utilité en soit démontrée, par Mme le Maire alors que le maintien des taux d’imposition était le leitmotive de la propagande depuis 2001. Ce choix fit si peu l’unanimité dans son propre groupe qu’elle dût démettre de façon autoritaire et brutale deux de ses adjointes et provoquer le fracture de sa majorité.
Ces deux faits marquants sont aussi deux mauvaises nouvelles pour le Plaisirois qui en subissent les conséquences dans leur vie quotidienne.
qu il se dèchire les gens de la droite de plaisir cela nous arrangera peut ètre nous serons vigilents
J’aimeJ’aime